Wild West, day 1
Little Rock n’offre pas beaucoup de vol direct mais Las Vegas en fait partie ! Nous nous sommes donc envolés pour la ville de tous les délires… 3h30 plus tard, nous avons enfin foulé le sol de la cité mythique du Nevada ! Avantage de ce vol ? Avec le décalage horaire (oui, car il y a du décalage horaire aux US pour ceux qui ne seraient pas au courant) on part à 1h30 de l’après-midi et on arrive à 15h30. Génial. Deuxio, on a pu survoler de jour des paysages fantastiques. Dont le Grand Canyon, excusez du peu !
Bon, par contre, dans l’avion, on a eu un pépé qui nous a fait un coup de calgon… Du coup on a eu droit à l’aide de deux infirmières présentes sur le vol (quelle chance !) et à la bouteille d’oxygène, et à l’appel du steward des pompiers et d’un médecin en ligne, et un peu la trouille de le voir clapser sous nos yeux… Mais finalement non !
Réflexion de son épouse à l’arrivée à Vegas ?
Au pompier : « mais il va vraiment falloir qu’on aille à l’hôpital, là ? Parce qu’on était quand même venu pour jouer nous ! » En même temps il ne pouvait plus respirer vingt minutes plus tôt Madame, mais bon…
Ah… Et puis nous avons eu le parfait couple de vieux grognons-ronchons !!! C’eut été dommage de les rater ceux là, d’autant qu’ils étaient assis à côté de nous... Sur Southwest, on embarque par groupe, A ou B, puis par numéro de groupe, 1-5, puis 6-10 etc… Mais une fois à l’intérieur on peut s’asseoir où l’on veut. Des rangées de trois à gauche et à droite, donc de quoi pouvoir se regrouper quand même. Ben non. Pas eux. Un à gauche et un à droite sur le couloir. Ils n’ont pas voulu se mettre à côté l’un de l’autre, ni bouger pour nous permettre d’être ensemble et en plus le monsieur ne s’est pas gêné pour ou bien me faire comprendre que se lever pour qu’Arnaud aille aux toilettes le dérangeait, ni pour ouvrir son journal Biiiieeeennnn en grand quand je parlais avec Nicole qui était assise sur la rangée opposée. Quels vieux schnocks !
On s’en fout ! Vegas is on the corner (*Vegas est au coin)